- Ingénieur généraliste, passionné par la physique et ses applications dans les techniques de l’ingénieur : électricité, mécanique, thermodynamique, mécanique des fluides, modélisation informatique des systèmes.
- MBA, dirigeant d’entreprise retraité, consultant polyvalent, spécialiste des salaires variables, des prix de transfert et de la modélisation économique, avec une carrière dans l’équipement automobile et les moteurs électriques.
- Homme de culture technique, économique, historique et politique, grand lecteur d’essais dans tous ces domaines
- Epoux d'une femme active, père de deux fils ingénieurs, grand père de 4 merveilleux petits enfants de 9 à 20 ans auxquels je voudrais laisser un monde vivable, aux plans écologique, et aussi politique et économique.
- La France (mais aussi l’Europe, l'Allemagne, la Suisse, les USA, le Maroc et bien d’autres)
- la démocratie qui repose sur l’état de droit,
- le petit essai de Yann ALGAN et Pierre CAHUC : "La Société de défiance", et l'ouvrage magistral de Jean TIROLE : "L'économie du bien commun",
- les idées claires et le rationalisme cartésien,
- la liberté de s’exprimer, d’entreprendre et de travailler,
- le civisme et les sens du devoir et de l’effort
- la langue française, ce qui ne m’empêche pas de parler correctement l’anglais
- l’écologie intelligente,
- l’économie de marché et la libre concurrence, le travail et le talent
- mais aussi le service public et la réglementation là où ils sont nécessaires,
- une redistribution sociale réaliste selon des règles simples,
- une sécurité sociale (au sens étymologique) contre les aléas majeurs de la vie
- naviguer à la voile au grand large
Je n’aime pas :
- l’interventionnisme de l’Etat obèse,
- les fiscalités et allocations absurdes, illisibles ou dissuasives
- l’irresponsabilité et l’assistanat érigés en mode de vie
- la démagogie souvent sous-jacente aux campagnes électorales,
- les décisions prises dans l’émotion au détriment de la réflexion
- l’extrémisme politique et l’intégrisme religieux,
- le militantisme partisan ou sectaire,
- le politiquement correct,
- la théorie du complot qui nourrit le populisme,
- la défiance, le « tous pourris », le lynchage médiatique,
- la violence physique ou morale, les fraudes fiscale et sociale.
- en évitant de rentrer dans la politique partisane,
- pour ramener de la raison là où il y a trop de passion,
- dans ce domaine de l’énergie que je connais bien,
- qui est déterminant pour l’avenir de la France,
- où bien des médias manquent de mise en perspective,
- et où certaines décisions politiques reposent sur des analyses erronées ou sectaires.